Concert du 4 mai: Bobby Dirninger et La Nomade Statique

Pendant la pause du festival, on continue la musique !!! L’association vous propose un concert le 4 mai à la salle des fêtes Léo Lesage au Theil avec Bobby Dirninger et La Nomade Statique.

Affiche concert 4 mai 2019 v2

La Nomade Statique existe depuis septembre 2009, le groupe débute en duo (Karine & Didier). Nos deux compères vont jouer à Paris  dans le cadre des « nuits givrées de la Bellevilloise ». La Nomade Statique continue d’écumer les lieux et un an plus tard le groupe est devenu un trio avec l’arrivée de Clément à l’accordéon. C’est finalement en juin 2014 que le groupe trouve son équilibre avec l’arrivée de Guizmo (ex TVA) à la basse dans un premier temps… puis en tant que guitariste rythmique.

En 2014 LNS a remporté le premier tremplin de Rock en Marche et joue en première partie des Fatals Picards, et a également remporté le prix du public ainsi que celui du jury aux scènes d’automne de Débroussaillons l’expression et fait la première partie d’Odelaf et de Sinsemilia.

La Nomade Statique est un groupe de scène qui aime faire participer le public qui passe de l’émotion à l’éclat de rire en un changement de chanson, c’est de l’énergie communicative et un concentré de joie de vivre!
Actuellement en trio  avec Karine (dite KK), Biodj et Guizmo, LNS travaille sur la sortie d’un nouvel album, sortie le 23 mai.

Bobby Dirninger fait partie des rares musiciens français à avoir obtenu une vraie reconnaissance outre Atlantique lorsqu’en 2010, « French Connection », son album avec la Blueswoman Zora Young s’est classé N°1 aux Charts Blues américains (Living Blues Charts). Depuis, comme si de rien n’était, ce « pélerin de la note bleue » continue son bonhomme de chemin, peu soucieux des modes et tendances du moment.
Que ce soit sur la scène du prestigieux festival de Montreux, devant un public d’enfants venus découvrir l’histoire du Blues, ou dans un pub oublié au bord d’une départementale perdue, c’est avec la même foi de charbonnier, qu’il délivre sa musique.
S’accompagnant de sa seule guitare, à la manière d’un Dylan ou autre Cohen des débuts,  le dépouillement  le plus intime habite son nouveau disque « Change of season », laissant sa seule voix nous transporter. Et quelle voix !